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Pleins feux sur la plus belle avenue du monde !

La notoriété internationale des Champs-Elysées, son accessibilité et sa dimension en font naturellement un lieu pour de grandes manifestations au caractère exceptionnel.

C’est l'ambition de Champs-Elysées Film Festival : être un festival véritablement populaire et devenir un rendez-vous incontournable pour le cinéma français et américain, le tout sur la plus belle avenue du monde.

En proposant au public des films indépendants et de grandes avant-premières hollywoodiennes (en présence des équipes des films), le festival désire mettre en avant toute la diversité du cinéma américain.

Une histoire d'amour.

Au Caire, Ramy et Julietta se marient en secret. Ils voudraient vivre leur amour au grand jour, mais leurs familles, si différentes, sont ennemies de longue date.
Entre joie, peine, amour et rivalité, quel avenir attend les deux tourtereaux ? Quelle est cette mystérieuse main du destin qui semble intervenir dans leurs vies ?

Cette création de danse théatralisée est librement inspirée de l’histoire d’amour éternelle de Roméo et Juliette, où Taly et Kareem Gad (co-directeurs de la compagnie Bell’Masry) réussissent avec élégance le pari de mêler les valeurs de l’Égypte traditionnelle à la modernité du 21e siècle.

Sur la trace des navires.

La France, forte de ses 12 840 km de littoral et ses 11 millions de km² de surface maritime, est le deuxième domaine maritime mondial après les États-Unis. Près de 360 millions de tonnes de marchandises transitent chaque année via les principaux ports français : Marseille, le Havre, Dunkerque, Nantes, Rouen ou encore Bordeaux.

Sur 1 000 m², l’exposition propose un parcours interactif et ludique, avec en fil conducteur les exemples concrets de routes commerciales et de cargaisons des produits d’alimentation : céréales, huile d’olive, sel et épices, café, thé et cacao, vin, fruits exotiques. Pour chaque période de l’histoire du commerce maritime un film d’animation viendra dialoguer avec les objets et retracer un voyage.

Le sensibilité japonaise mise en œuvre.

Dernière grande école de peinture traditionnelle chinoise, l’école de Lingnan est née au Guangdong (actuelle région de Canton). Au début du Xxe siècle, Chen Shuren et les deux frères Gao, Gao Jianfu et Gao Qifeng, s’inquiètent de l’essoufflement politique et culturel de la Chine.

Ainsi que nombre de leurs contemporains artistes et penseurs, ils se tournent alors vers le Japon pour refonder une modernité chinoise. Ils s’inspirent du Nihonga, mouvement rénovateur de la peinture traditionnelle japonaise, et élaborent un nouveau style pictural original. L’école de Lingnan s’enrichit des sujets naturalistes propres à la sensibilité japonaise..

Le musée Cernuschi retracera la naissance de cette école et sa complexité.

L'amour chrétien des images.

En parallèle de l'exposition Poussin et Dieu, le musée du Louvre propose de s'attarder sur l'iconophile de la Rome pontificale et comment elle a influencé la peinture française entre 1580 et 1660. En effet, le XVIe siècle fut marqué par une crise religieuse majeure qui a eu un très fort impact sur les artistes et donc sur les images.
Dès la fin de l'année 1522, un iconoclasme véhément prit forme en France et aux Pays-Bas afin de traduire une certaine ambiance qui affecta beaucoup les peintres.

L'art religieux se construisit ainsi en Italie, en prenant comme base les notions de pureté et de vérité. L'exposition a pour vocation de montrer deux pôles opposés et profondément liés : la peinture sous la Rome pontificale et l'influence de cet art sur l'Ecole française.

Rencontre entre deux cultures.

Pour la première fois en France, les arts, la culture, le design et l'art de vivre de Singapour sont mis à l’honneur pendant Singapour en France – le festival. Les meilleurs talents se produisent dans des expositions, des performances, des résidences et de nombreux autres événements dans différents lieux parisiens (Théâtre de la Ville, Cinémathèque Française ou le Palais de Tokyo. Ce festival s’inscrit également dans le cadre du cinquantenaire de l’indépendance de Singapour et marque un point d’orgue dans les célébrations du cinquantième anniversaire des relations diplomatiques avec la France.

José Montalvo s'attaque au mythe du "roi des héros".

Artiste permanent au Théâtre de Chaillot, José Montalvo en profitera pour présenter sa nouvelle création, dans laquelle il met en scène un échange entre le classique et le moderne. Du Stravinski vient ainsi donner la réplique à la pop anglo-saxonne d'aujourd'hui pour mieux raconter l'épopée de Gilgamesh, ce roi sumérien extrêmement égocentrique qui, dit-on, aurait rassemblé toutes les richesses de la terre et est considéré comme le premier héros de l'humanité, bien avant l'Iliade ou la Bible.

Toute une intimité dévoilée dans la peinture.

Le Musée Marmottan Monet présente une exposition unique, puisqu'il s'agit de la première sur les thèmes de la toilette et de l'intimité de l'hygiène. Un tel sujet n'avait encore jamais été proposé sous forme d'exposition, ce qui permet au musée de créer la surprise grâce à des œuvres d’artistes majeurs du XVe siècle à aujourd’hui, concernant les rites de la propreté, leurs espaces et leurs gestuelles.

Une centaine de tableaux, des sculptures, des estampes, des photographies et des images animées (appelées également chronophotographies) sera à admirer le long du parcours.

Chefs-d'œuvre à Paris.

Dans le cadre de la troisième phase de son inauguration, la Fondation Louis Vuitton propose une exposition à caractère historique : Les Clefs d'une passion. Cette exposition réunit de grands chefs-d'œuvre qui ont marqué l'histoire de l'art moderne. Découvrez ou redécouvrez les œuvres de Mondrian, Malevitch, Rothko, Léger, Picabia ou encore Munch. Les œuvres présentées proviennent des plus grands musées du monde (la Tate Modern à Londres, le MOMA à New York, le Munch Museum d'Oslo ou encore le MOCA de Los Angeles).
Les visiteurs pourront par exemple contempler le Cri de Munch en provenance du musée Munch d'Oslo.

Un talent féroce.

L’exposition sera l’occasion de découvrir cette artiste italienne, tout en révélant les multiples facettes de son travail. Sa pratique irrévérencieuse traverse quasiment tout le XXe siècle et a flirté aussi bien avec le surréalisme que l'art concret, l’art informel, l'arte povera ou l'art brut, tout en restant inclassable.


Carol Rama est actuellement considérée comme une artiste incontournable pour comprendre les mutations de la représentation et le travail d’artistes tels que Louise Bourgeois, Cindy Sherman, Rosemarie Trockel. Son œuvre avant-gardiste a récemment suscité beaucoup d’intérêt auprès des institutions, des historiens d’art et des artistes.

Tous à table.

Cette exposition s'attarde sur les arts culinaires traditionnels. A l'heure de la mondialisation, des fast-foods et de la restauration rapide, les œuvres présentées rappellent que des traditions et des rites existent encore, ainsi qu'une certaine conception de la consommation de nourriture.
Traditions, actes et savoir-faire sont exposés afin de témoigner d'une certaine histoire des préparatifs et de la base de l'alimentation.

Masques, sculptures, objets d'art… Une série d'œuvres permettra d'évoquer différentes cultures mais aussi les arts culinaires partout dans le monde. Ces supports de communication et de consommation sont mis en valeur grâce à des installations.

Préservez votre santé.

Cette exposition présente des installations de l'artiste franco-béninois Julien Vignikin. Chaque œuvre interroge le spectateur sur l'alimentation dans le monde et sur le phénomène de la "malbouffe". En abordant l'une des préoccupations majeures de nos sociétés, l'artiste expose son opinion.

L'âge d'or espagnol.

Artiste incontournable de l’histoire de l’art, Diego Velázquez (1599-1660) est sans conteste le plus célèbre des peintres de l’âge d’or espagnol.

L’exposition aux Galeries nationales du Grand Palais à Paris met son œuvre en dialogue avec de nombreuses toiles d’artistes de son temps qu’il a pu connaître, admirer ou influencer.

L'exposition se penche également sur la question des variations de styles et de sujets dans les premières compositions de Velázquez, le passage entre naturalisme et caravagisme, ainsi que son égale habileté à exécuter paysages, portraits et peintures d’histoire.

Imposer son style.

Ce sculpteur italien, proche du mouvement Liberty et du symbolisme, a su élaborer un langage ou l'expressionnisme se mêle aux réminiscences de l'art antique, de la Renaissance, mais aussi néogothiques, dans un équilibre inédit entre la force expressive du modèle et la grâce de motifs purement décoratifs.

Etranger au monde des avant-gardes, Wildt connut un succès critique controversé. Cette exposition exceptionnelle présente pour la première fois en France sculptures et dessins de l'un des artistes les plus raffinés et cultivés du XXe siecle.

Réflexion sociologique.

Ballet en deux actes, La Fille mal gardée est une comédie romantique pastorale, tout en grâce. Si le thème des amours contrariées n'est pas nouveau, l'originalité réside dans le fait de faire figurer des protagonistes issus du petit peuple dans un ballet.

Un ballet sucré, tiré d'une pièce de Dauberval, inspiré d'une gouache de Beaudouin aperçue par hasard un jour, représentant une jeune fille que sa mère querelle.

Fête nationale : le bouquet final.

Chaque année, le traditionnel feu d'artifice du 14 juillet, à Paris, est un grand événement festif, qui rassemble les foules autour de la tour Eiffel, mais aussi sur le Champ-de-Mars, à l'occasion de la célébration de la fête nationale française.

La place du Trocadéro reste l'endroit privilégié pour assister au spectacle pyrotechnique. Les enfants se hisseront sur les épaules de leurs parents pour s'émerveiller devant ce spectacle qui promet, une fois de plus, d'être grandiose !

En prélude.

En prélude au grand feu d'artifice tiré depuis le Champ de Mars, la place du Trocadéro accueille, dans le cadre de la Fête Nationale du 14 juillet, un concert exceptionnel. Ce concert est gratuit.

En 2014, le concert commémorait le centième anniversaire de la Grande Guerre et célébrait à cette occasion la Paix. Des grandes voix étaient donc présentes et étaient accompagnés par l'Orchestre National de France et le Chœur de Radio France. Plus de 500 000 spectateurs ont pu assister au concert sur place, ainsi que des millions de téléspectateurs.

Un véritable hommage à Frédéric Chopin…

La Société Chopin, créée en 1911, honore la mémoire et l'œuvre du compositeur franco-polonais à travers divers événements tels que des concerts, des conférences, des voyages ou encore des manifestations littéraires.

Elle organise également le festival Chopin à Paris qui se tient tous les ans, depuis 1983, à l'Orangerie du Parc de Bagatelle. Là encore, il s'agit de contribuer au rayonnement de l'œuvre de Frédéric Chopin à travers des concerts de prestige. Un véritable hommage au musicien romantique donc, et ce, pour votre plus grand plaisir.

Couleur outre-mer.

Le traditionnel défilé militaire du 14 juillet, avenue des Champs-Elysées, sera l'occasion, comme chaque année, de célébrer l'invité mis à l'honneur, qui défilera le matin.

Ce sera également l'occasion de fêter les pompiers de Paris, mais aussi de saluer le président de la République, qui ne manquera pas de descendre la célèbre avenue parisienne avec le reste du cortège…

Un rendez-vous à ne surtout pas manquer et que vous pourrez découvrir en famille.

Un Paris réussi.

Le styliste Yves Saint Laurent présente, le 29 janvier 1971, sa collection intitulée Libération ou Quarante, qui s'inspire de la mode des années d'après-guerre. La collection se compose de robes courtes, alors que les mannequins ont les épaules carrées et sont très maquillées. Les multiples références au Paris de l'Occupation font scandale, au point qu'Yves Saint Laurent est violemment critiqué dans la presse.
Cependant, la collection offre une image rétro qui va bientôt envahir la rue et les placards des fashionistas.

Cette collection fait rentrer la mode dans l'histoire contemporaine. Haute couture et prêt-à-porter n'ont jamais été aussi proches. Libération devient le manifeste d'un couturier qui devient l'arbitre des ambigüités et, surtout, un artiste incontournable.

Une figure de la scène allemande.

Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris présente une rétrospective consacrée à Markus Lüpertz (né en 1941 à Liberec), artiste majeur de la scène allemande.
Dès les années soixante, Lüpertz s’émancipe de l’art abstrait prédominant. Renouant avec la figuration, il utilise un répertoire de motifs issus de différents registres, périodes et styles. Il instaure, plus largement, un dialogue singulier entre la peinture et la sculpture, le figuratif et l’abstrait, le passé et le présent et revisite l’histoire de l’art moderne avec une grande liberté stylistique.
Cette rétrospective réunissant peintures, sculptures et œuvres sur papier retracera l’ensemble de la carrière de l’artiste, du début des années 1960 avec la série Donald Duck, à sa production la plus récente, incluant la série Arcadies de 2013.

Il ne manque pas un bouton de guêtre !

L’exposition est l’occasion de dévoiler une collection unique au monde de plus de 3000 boutons, datés du XVIIIe au XXe siècle, acquise en 2012 et ayant reçu le statut d’œuvre d’intérêt patrimonial majeur par la Commission consultative des Trésors Nationaux.
Ces pièces, petites par leur taille, sont cependant de véritables objets d’art par la préciosité des matériaux et techniques qui entrent dans leur fabrication.

Réalisées par des artisans issus de disciplines diverses : passementiers, brodeurs, orfèvres, verriers, céramistes ou paruriers, ces boutons cristallisent à eux seuls la mémoire et l’évolution des savoir-faire.

La peinture italienne, toute une histoire.

Pionnier de la redécouverte du Caravage, Roberto Longhi (Alba, 1890 - Florence, 1970) est l’une des figures les plus fortes de l’histoire de l’art italien du XXe siècle.
Son regard d’expert et d’historien s’est posé sur les grands primitifs, comme Giotto (vers 1266/67 – 1337), Masolino (1383 – vers 1440), Masaccio (1401 – vers 1428), ou Piero della Francesca (vers 1415 – 1492), comme sur le Caravage. Esprit ouvert sur son temps, proche des artistes contemporains tel Morandi, il a permis grâce à ses études, une lecture renouvelée des grands moments de la peinture italienne.

À partir d’une sélection de chefs-d’œuvre de la Fondation Roberto Longhi et d’œuvres exceptionnelles issues de musées italiens et français (Galerie des Offices, Galleria Palatina de Florence, Musées du Vatican, Gallerie dell’Accademia de Venise...), le Musée Jacquemart André célébrera les passions italiennes de Roberto Longhi. L’exposition mettra en lumière deux axes forts des études Longhi : les primitifs italiens et le Caravage et les caravagesques.

L'art dans tous ses états.

Le Nouveau Festival est de retour à Paris pour poursuivre son introspection au cœur des arts sous toutes leurs formes. En effet, pendant trois semaines, ce festival d'un nouveau genre offre la possibilité aux artistes de mettre en avant la pluridisciplinarité du Centre Pompidou et, par la même occasion, d'explorer toutes les facettes de l'art.

Cinéma, théâtre, musique, arts plastiques ou performances seront au programme du Nouveau Festival pour mieux mettre en avant l'effervescence de la création.

L'électro au soleil.

Venez faire la sieste dans les jardins du musée du Quai Branly, en écoutant des DJ sets exclusifs réunissant à chaque fois deux artistes.
Pour cette occasion, la médiathèque du musée ouvre aux DJs invités sa collection de musiques venant des quatre coins du monde.

Un certain style.

Le Palais Galliera présente la première rétrospective parisienne consacrée à Jeanne Lanvin, qui a fondé la plus ancienne maison de haute couture encore en activité. Cette exposition propose une scénographie originale réalisée en étroite collaboration avec Alber Elbaz, directeur artistique de Lanvin.
Les pièces exposées font parties du fonds du Palais Galliera ainsi que des collections de la maison Lanvin.

C'est en 1908 que Jeanne Lanvin a proposé sa première collection pour enfants. Forte de ce succès, elle rejoint les grands noms de la haute couture parisienne et ouvre plusieurs départements. La maison emploie plus de 1000 ouvrières.
Dans les années 20, le bleu et ses variations deviennent les couleurs fétiches de Lanvin, alors que Jeanne Lanvin se fait une spécialité des boléros du soir brodés ou en lamé.

Vous en avez rêvé, Nathan Sawaya l’a fait !

La Porte de Versailles accueille un événement unique en son genre : The Art of The Brick de Nathan Sawaya. Cette exposition met en scène plus de 100 œuvres d’art monumentales et ludiques créées avec les célèbres briques.
Toutes ces merveilles sont le fruit de l’imagination débordante de l’artiste américain Nathan Sawaya. Destinée à un large public, cette exposition itinérante a déjà attiré plus de 2 millions de visiteurs en Amérique du Nord, en Australie, en Asie et en Europe.

Sur plus de 1.500 m², l’exposition The Art of The Brick plonge le visiteur dans l’univers tout aussi gai et coloré que déroutant de Nathan Sawaya. L’artiste, qui a mobilisé pour cette seule présentation plus d’un million de briques LEGO est l’auteur d’œuvres qui font sourire ou réfléchir petits et grands.
Réels ou fictifs, les personnages et objets créés par Nathan Sawaya seront appréciés des amateurs d’art contemporain les plus pointus comme du grand public.

Deux artistes au diapason.

Poursuivant l’exploration des liens entre l’œuvre de Victor Hugo et l’art moderne, le musée propose la confrontation des dessins du poète avec ceux de Louis Soutter. Cette mise en parallèle invite à suivre deux artistes hors normes, qui brouillent les frontières et ne se laissent guider que par leur vision et leur liberté.

Le dessinateur et violoniste Louis Soutter (1871-1942), est l’une des figures majeures de l’art suisse.
C’est entre 1923 et 1927 que Soutter, alors placé dans un hospice de vieillards du Jura vaudois, se met, à l’âge de cinquante-deux ans, à dessiner et à écrire à la plume, avec de l’encre noire, dans une quarantaine de cahiers d’écolier.
Il recouvre également de dessins et de courts commentaires les pages d’une vingtaine d’ouvrages environ (romans, livres d’art et de poésie).

Un été au musée.

Comme chaque été, le musée du quai Branly propose une programmation originale dans le cadre de Jardin d’Eté, manifestation aux multiples résonances estivales. Derrière la palissade de verre qui le protège de la rumeur urbaine, au bord des berges de Seine et à deux pas de la tour Eiffel, les visiteurs viennent expérimenter de nouvelles expériences à vivre en famille ou entre amis.
Cette année, le Jardin d'Eté du musée du Quai Branly met les sons et les parfums à l’honneur : ateliers, contes, initiations, Siestes Électroniques, lectures, performances… Une offre éclectique pensée pour le plaisir des petits et des grands dans ce lieu de nature et de culture conçu par le paysagiste Gilles Clément.

Lever de rideau sur le théâtre asiatique.

Le monde du théâtre s’expose au musée Guimet : celui des épopées, des histoires et des mythes.
De l’Inde au Japon en passant par la Chine et l’Asie du Sud-est, masques, costumes, marionnettes et figures du théâtre d’ombre illustrent les multiples facettes d’un art plus que millénaire qui reste aujourd’hui encore l’objet d’une immense fascination bien au-delà des frontières du continent asiatique.

Un espace déambulatoire.

Isabelle Cornaro est invitée à concevoir une œuvre pour le Païpe. À la suite des interventions réalisées par Ulla von Brandenburg et Sheila Hicks, il semblait pertinent d’inviter Isabelle Cornaro à concevoir une installation in situ pour un espace à mi-chemin entre le théâtre frontal et le diorama immersif, tant cette artiste est attachée à la construction gestuelle comme mentale du paysage, entre mimésis et abstraction.

Le paysage constitue une prémisse importante dans l’œuvre de l’artiste, que ce soit dans les photographies intitulées Savane autour de Bangui et le fleuve Utubangui (2003-2007) où le territoire est dessiné à l’aide de bijoux, ou la série d’installations Paysage avec poussin et témoins oculaires (2008-) inspirées du peintre Nicolas Poussin (1594-1665), de ses paysages pastoraux et de ses évocations d’un monde champêtre idéalisé.
Pour le Palais de Tokyo, Isabelle Cornaro a décidé de réaliser une installation de peintures murales.

Elle est peut-être dévoyée, mais elle nous séduit toujours…

Tirée de la pièce de Dumas fils La Dame aux camélias, La Traviata est considérée comme l'une des œuvres lyriques les plus populaires, par ses airs envoûtants et la suprématie de ses chœurs.

Cette œuvre met en lumière l'hypocrisie d'une bourgeoisie, faite de principes religieux et d'alliances lucratives. Bien évidemment, l'histoire d'amour entre un gentilhomme, Alfredo, et une courtisane, Violetta, ne correspond pas à la moralité, et la belle n'aura d'autre choix que le sacrifice.

La jeune garde.

La Paris Design Week est un terrain d’expérimentation idéal pour des jeunes créateurs ravis de pouvoir investir des champs artistiques encore en attente d’être défrichés.

Au cœur de la capitale parisienne, de nombreuses galeries d'art et lieux emblématique accueillent des expositions, des ateliers et des rencontres permettant de véritablement prendre le poults de la création en France en matière de design.

L'art d'une nation.

Dans l'Italie du début du XXe siècle, les arts décoratifs se font les interprètes du désir de progrès d'une nation venant de trouver son unité. Ebénistes, céramistes, maîtres verriers travaillent en collaboration avec les plus grands artistes, créant ainsi un véritable "style italien".

Cette période de créativité extraordinaire est présentée à travers un parcours chronologique d'une centaine d'œuvres.
Le style Liberty, qui s'affirme au tournant du siècle, est évoqué par les créations de Carlo Bugatti, Eugenio Quarti, Federico Tesio, en dialogue avec l'œuvre des peintres divisionnistes.
Une deuxième section est consacrée au futurisme dont l'esthétique inspirée par le progrès et la vitesse s'étend à tous les aspects de la vie.

Des trésors d'orfèvrerie.

En septembre 1943, deux responsables des services religieux des synagogues espagnole et levantine du ghetto de Venise cachèrent une quarantaine d’objets précieux avant l’entrée des nazis dans la ville. Déportés, ces deux hommes ne revinrent jamais des camps d’extermination.
Récemment, les objets soustraits aux spoliations ont été redécouverts à la faveur de la restauration de la synagogue espagnole.

Ce trésor d’orfèvrerie liturgique, pour l’essentiel en argent, compte des couronnes de torah (keter torah), des ornements de bâtons de torah (rimmonim), des mains de lecture (yad), des boîtes à aromates (bessamim), des lampes-appliques de Hanoukkah (fête des Lumières), des lampes de synagogue, des coffrets de torah (tiq), des plats, un bassin et une aiguière.

Light box.

Parallèlement au don de 45 œuvres de Henry Darger au musée, Kiyoko Lerner a offert en 2014 un important ensemble de photographies de son mari Nathan Lerner (Chicago, 1913-1997). Le Musée d’Art moderne lui rend hommage en présentant une large sélection de cet ensemble dans une salle de ses collections permanentes.

L’œuvre de Nathan Lerner a fait l’objet de nombreuses expositions aux Etats-Unis, au Japon et en Europe, dont une importante rétrospective en 2008 au Musée d’art et d’histoire du Judaïsme à Paris.
Le fonds exposé ici en partie est un don exceptionnel à plus d’un titre : par son ampleur (230 œuvres qui couvrent l’ensemble de sa carrière), par sa qualité, mais aussi par son aspect inédit : beaucoup d’œuvres n’ont encore jamais été publiées ni même dévoilées au grand public, notamment une série de photographies prises au Mexique.

Réveillez vos sens au Parc floral.

Pourquoi ne pas profiter d'une promenade au Parc floral pour assister à un concert de musique classique ? A moins que ce ne soit l'inverse ?…

Chaque week-end d'août et septembre, pour le prix d'une entrée au parc, vous pouvez assister à un concert de musique classique dans le cadre du festival Classique au vert.

Mélomanes avertis et simples promeneurs assistent ainsi aux concerts assis dans l'herbe ou sous le Delta (1500 places assises). Seul, en amoureux, en famille ou entre amis, entouré de fleurs, chacun peut mettre tous ses sens en éveil. Chaque week-end sera l’occasion d’écouter les concerts autrement.

Un festival au parfum d'été… mais parisien !

Les Solistes à Bagatelle est un festival qui, depuis 2000, soutient la création et les jeunes musiciens autour du piano. Il prend ses nouveaux quartiers à l’Orangerie de Bagatelle, en 2012, pour laisser la place aux travaux d’extension de Roland-Garros sur le site des Serres d’Auteuil.

Mais l’idée que la musique classique est réservée à une certaine catégorie de public, qui n’était pas de mise aux Serres d’Auteuil, ne le sera pas non plus à Bagatelle ! Des concerts de grande qualité, décontractés, courts, pas chers et même gratuits pour les enfants attendent le public, le tout dans un lieu magique, convivial et fleuri, dont on pourra découvrir l’extraordinaire roseraie au mois de juin.

Le festival Les Solistes des Serres d'Auteuil à Bagatelle a toujours le parfum d'un festival d'été en région, mais il reste parisien.

Couleurs musicales orientales.

Le concert d’ouverture de la saison symphonique de l’Orchestre Lamoureux est placé sous le signe du voyage, avec pour invité d’honneur l'Azerbaïdjan.
Marquant également l’ouverture du festival "De Soie et de Feu", dirigé par Pierre Thilloy, nouveau directeur artistique de l’Orchestre Lamoureux, de nombreux artistes azerbaïdjanais vous feront découvrir la culture musicale de la Perle du Caucase. Attendez-vous donc à vous immerger dans une atmosphère musicale orientale !

Plus d’un siècle après sa création par l’Orchestre Lamoureux, L’Apprenti sorcier de Paul Dukas sera à nouveau mis à l’honneur. Et en sa qualité d’orchestre novateur, ce concert sera aussi l’occasion d’une création mondiale, la 10ème Symphonie de Pierre Thilloy : Exil.

Une œuvre inclassable et fondatrice.

Ouvrage inclassable, Der Freischütz demeure la pierre fondatrice de l'opéra allemand romantique. Wagner en assumera l’héritage et Berlioz puis Debussy témoigneront amplement de leur admiration.
Depuis le fondateur Orfeo de Monteverdi, le surnaturel constitue un élément important à l’opéra. Mais Weber l’envisage autrement : ici ni dieux ni héros vainqueurs mais un univers fantastique en écho à celui des humains. Aussi est-il autant question de forces surnaturelles… que de liberté. Et le musicien de convoquer à dessein une écriture orchestrale particulièrement expressive.
Tout à la fois quête et initiation, l’ouvrage eut dès sa création un immense retentissement sur les élites intellectuelles et artistiques de l’époque.

Divertissement en musique.

Mozart aimait, dit-on, les joutes pianistiques et les improvisations en public. Cet art de l’invention dans l’instant, qui a connu son apothéose au XVIIIe siècle, renaît aujourd’hui grâce à un artiste aussi étonnant que Fazil Say. Le pianiste turc se passionne en effet autant pour le répertoire classique que pour le jazz et la composition. Et quelles compositions ! Ses pièces explosent de rythmes fous, de couleurs éclatantes, de styles mêlant l’écriture savante et le folklore. Elles sont avant tout des divertissements, certes sérieux, mais qui renouent avec l’esprit mozartien que Sir Roger Norrington et les musiciens de l’Orchestre de chambre de Paris connaissent sur le bout des doigts.
Un esprit spontané et léger devrait ainsi souffler sur ce concert…

Du cinéma à la scène.

Un concert symphonique exceptionnel avec les plus belles musiques classiques de vos films préférés : Mort à Venise, Le Dictateur, Apocalypse Now, Le Parrain, 2001 l'Odyssée de l'espace…
Venez vivre en musique les plus belles émotions du cinéma, avec des chefs-d’œuvre de la musique classique interprétés l’Orchestre National d’Ile-de-France, sous la direction de Thomas Sondergard.

Des œuvres envoûtantes.

Amoureux de la musique de Mozart, n'hésitez pas à vous rendre à ce concert qui met en avant quelques pages de ce compositeur de renom. Vous entendrez ainsi la Musique funèbre maçonnique, le Concerto pour deux pianos, œuvre exaltante et jubilatoire et le célèbre Requiem, l'une de ses œuvres les plus connues, qui magnétise autant l'auditeur que l'interprète.

Deux hommes, une même ambition.

Années 1520 : l’empire espagnol de Charles Quint, assoiffé d’or et de conquêtes, poursuit son exploration de l’océan Pacifique et du littoral sud-américain entamée une décennie plus tôt. Au même moment côté amérindien, le plus grand empire inca jamais connu – Tawantinsuyu, "l’empire des quatre quartiers" – mène son expansion sous le règne de Huayna Capac. À la mort de ce dernier, une crise dynastique porte au pouvoir son fils Atahualpa, coïncidant avec l’arrivée sur le territoire péruvien de l’espagnol Francisco Pizarro et de ses conquistadores.

Autour des récits espagnols et indigènes de la conquête, illustrant les parcours parallèles puis l’affrontement de ses deux protagonistes, l’exposition retrace les moments-clés de l’histoire du continent sud-américain.

Dernière révérence.

En 2015, la danseuse étoile Sylvie Guillem fait ses adieux à la scène.
Depuis ses premières révérences faites en tant que petit rat de l'Opéra de Paris aux danseurs de la Compagnie jusqu'aux derniers instants de sa carrière, Sylvie Guillem a vécu un parcours chorégraphique riche et intense qu'elle achève ici en dansant deux créations et deux reprises.
Une dernière incursion dans le répertoire contemporain pour un spectacle qui s'annonce envoûtant et émouvant.

Une vision nouvelle.

Le vitrail français contemporain est aujourd’hui l’un des éléments phares du patrimoine national. Ouvert depuis 1945 aux plus grands artistes, il offre un éventail de visions et de formes élargi à l’extrême où les signatures de peintres reconnus sur la scène internationale comme Chagall, Benzaken, Tremlett, Soulages, Raysse, se succèdent dans les architectures les plus prestigieuses qu’elles soient anciennes ou modernes, civiles ou religieuses.

Cette exposition a pour ambition d’immerger le public au cœur de cet univers fascinant et de donner des clés pour la compréhension de cet art si particulier.
Elle est fondée sur la présentation de vitraux qui permettent de les appréhender dans des conditions exceptionnelles de vision rapprochée, propre à provoquer un choc esthétique auquel tous les publics seront sensibles.

Une œuvre géométrique.

La géométrie est constitutive de l'architecture. Outil de conception, de représentation et de transmission, cette science de la mesure et de l’espace est une invitation à penser le monde. Elle participe à la fois d’un ordre symbolique et d’un langage à visée universelle.
Depuis près de vingt ans Fabien Vienne, né en 1925, à la fois architecte, urbaniste, designer, conçoit des jeux d’architecture qui explorent la géométrie.

À l’articulation des sciences de l’ingénieur et de l’architecte, ses recherches formelles proposent d’appliquer les systèmes numériques de cette discipline aux formes construites. Ses jeux de géométrie, interrogent les mesures de notre corps, de l’architecture et du monde physique et invitent à réfléchir sur les spécificités et les oppositions entre l’espace de la représentation et l’espace habité.

Soul and funk.

Chanteuse de jazz américaine, Dee Dee Bridgewater, née en 1950 à Memphis dans le Tennessee, baigne dès son plus âge dans le jazz grâce à son père trompettiste de jazz. Pendant sa scolarité, elle intègre un trio de Rhythm and Blues.

En 1971, alors qu’elle emménage à New-York, Dee dee rejoint en tant que chanteuse l’orchestre de Thad Jones et Mel Lewis : sa carrière débute réellement lorsqu’elle accompagne les plus grands jazzmen comme Sonny Rollins, Dexter Gordon, Dizzy Gillespie ou encore Max Roach.

Spectacles à danser.

Conçues comme un recueil de nouvelles épiques pour le XXIe siècle, les trois pièces d’Eun-Me Ahn, Dancing Grandmothers, Middle-Aged Men et Teen Teen donnent la parole à plusieurs générations.
Ces spectacles témoignent des modes de vie de son pays natal, la Corée. Portrait d’une société sous forme de trilogie dansée.
Autrement dit, à travers l’histoire des corps.
Il y a les road movies à l’américaine et les spectacles sur les routes selon Eun-Me Ahn.

Les saveurs du palais.

Louées pour leurs vertus médicales et thérapeutiques, les boissons dites "exotiques", introduites au XVIIe siècle en Europe, ont été associées aux plaisirs et aux sociabilités du XVIIIe siècle. Les bois sons issues du cacaoyer, du caféier et du théier – plantes exogènes à l’Europe – ont fait partie intégrante des sociabilités de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie dès leurs introductions officielles auprès des cours d’Europe.

Cette exposition propose une nouvelle lecture de ces boissons entrées dans les rituels du quotidien, en présentant des œuvres de nombreux artistes emblématiques du XVIIIe siècle comme Boucher ou Chardin.

Théâtre en plein air.

Au cœur du Bois de Boulogne, le théâtre de verdure du jardin du Pré Catelan est l'un des plus beaux du monde. Chaque année, à l'approche de l'été et pendant plusieurs mois, le jardin accueille un festival de théâtre. Ce festival présente des pièces de William Shakespeare et autres auteurs jouées en plein air… une belle manière de redécouvrir le théâtre et d'allier culture et nature !

Les Seigneurs au galop.

Considérée comme la plus prestigieuse course de galop au monde, le Qatar Prix de l'Arc de Triomphe est le plus grand rendez-vous sportif du galop international.
Cet événement sportif mondial permet à la France de figurer parmi les grandes nations organisatrices de courses et constitue une étape majeure pour la notoriété de l'élevage du cheval pur-sang français.
Réputée dans le monde entier pour son ambiance unique, mais aussi et surtout pour la qualité des chevaux qui y sont présentés, cette course de galop s'effectue sur la distance classique de 2 400 mètres et sur gazon, chaque premier dimanche d’octobre. Cette confrontation intergénérationnelle réunit les meilleurs pur-sang mâles et femelles de trois ans et leurs aînés à l'hippodrome de Longchamp

Rêver d’être au départ de la plus prestigieuse course de galop, dans l'une des plus belles villes au monde, exerce une réelle fascination, même chez les plus puissants.

Point d’orgue du week-end également, la Qatar Arabian World Cup, véritable championnat du monde du Pur-sang Arabe.

Hommage et contemporanéité.

Avec George Balanchine et Jerome Robbins, c'est à ses maîtres que Benjamin Millepied a souhaité rendre hommage. Plus largement, il s'agit d'un hommage à deux chorégraphes majeurs qui ont emmené la danse vers des sommets rarement atteints.

Avec Opus 19 /The Dreamer, Jerome Robbins met en scène le rêve éveillé d'un jeune homme et son contrepoint irréel.
Thème et Variations de George Balanchine, l'un des ballets les plus difficiles du répertoire, se veut un hommage au ballet impérial de l'ancienne Russie et à son maître le plus célèbre : Marius Petipa.
Entre ces deux chefs-d’œuvre, Benjamin Millepied a conçu un ballet présentant à la fois la compagnie et son projet pour la danse à l'Opéra de Paris.

Intimiste, profond et envoûtant.

Parmi les sopranos françaises les plus connues au monde, figure Natalie Dessay. Parcourant les scènes internationales les plus prestigieuses, elle témoigne d'un parcours musical d'une richesse phénoménale au sein duquel elle a su explorer toutes les facettes de son talent.
En effet, si elle s'est très vite imposée comme une soprano colorature aux moyens vocaux fascinants, Natalie Dessay a montré un souci d'exploration musicale poussé jusqu'à se tourner notamment vers des rôles quelque peu inattendus pour sa tessiture comme Violetta dans La Traviata. Elle a aussi abordé la chanson française et la mélodie, domaines dans lesquels elle se dévoile dans un cadre plus intimiste mais tout autant profond et envoûtant.

Une succession documentaire.

L’exposition réalisée grâce au don exceptionnel de la succession Darger présente un panorama de cet artiste longtemps en marge du monde de l’art. Découvert quelques mois avant sa mort par le photographe Nathan Lerner, Henry Darger a produit dans le plus grand secret une œuvre littéraire et picturale de grande ampleur, notamment des illustrations du grand récit épique connu sous le titre The Realms of the Unreal (Les Royaumes de l’Irréel), fondé autour d’une immense guerre qui a pour origine la rébellion des enfants tenus en esclavage par le peuple des Glandéliniens.

L’œuvre de Darger exprime de manière acerbe les enjeux du XXe siècle, le tout dans une esthétique souvent qualifiée de pré-Pop. L’exposition met en valeur les différents ensembles de son œuvre : grands panneaux narratifs recto-verso, drapeaux, portraits de personnages et un ensemble documentaire.

Un joyau d'opéra.

Après avoir révolutionné l'histoire de l'opéra avec Salomé et Elektra, Richard Strauss retourne aux modèles de ce XVIe siècle qu'il admire, siècle des élégances et du raffinement, formidable moment de bouillonnement intellectuel (les philosophes des Lumières !) et d'émancipation de l'artiste.

Strauss puise chez Molière le germe de cet opéra étourdissant, où tout est mis en abîme. Vous y verrez, en effet, un compositeur, son mécène et commanditaire (et ses préoccupations bien peu musicales !), puis "son" opéra, où se mêlent, avec un humour unique, genre noble et comédie…

Chef-d'œuvre d'analyse, mais aussi et surtout de plaisir intellectuel et musical, Ariadne auf Naxos ou Ariane à Naxos est un joyau sans équivalent dans le monde.

Les plus grands standards revisités.

Diana Krall fascine par sa présence discrète et rayonnante, impressionne par sa maîtrise parfaite du piano et suscite l’admiration avec sa voix de velours depuis plus de 20 ans. Elle est la petite protégée de Ray Browne, et la chanteuse préférée de Clint Eastwood, qui va même jusqu’à lui écrire des chansons.
Son dernier opus, Wallflowers, sortira le 2 février prochain. Il s’agit d’un album de reprises de tubes pop des années 60 à nos jours. On y retrouve des réinterprétations très personnelles d’"If I Take You Home Tonight" de Paul McCartney, de "Sorry Seems To Be The Hardest Word" d’Elton John, ou encore de Wallflowers de Bob Dylan, utilisée en chanson titre. Nul doute que cet album plaira aux néophytes autant qu’aux puristes !

Une saison pour l'art.

Date à confirmer.

Créé en 1903 au Petit Palais, le Salon d'Automne de Paris poursuit un objectif double : offrir des débouchés aux jeunes artistes et faire découvrir l'impressionnisme à un public populaire. Pluridisciplinaire, le Salon d'Automne de Paris mélange à la fois peinture, sculpture, photographie et architecture.

La grand-messe de la création contemporaine.

Evénement incontournable dans le monde de l'Art moderne et contemporain, la FIAC accueille, chaque année, une sélection internationale de galeristes.

Les collectionneurs, commissaires d'exposition, professionnels du monde de l'art, ou tout simplement les passionnés d'Art contemporain venant du monde entier, attendent avec impatience cet événement de la rentrée.

Les plus grands noms du marché de l'art exposent au public une sélection d'artistes confirmés et de découvertes, tandis que de nombreuses manifestations, à travers Paris, permettent au grand public d'approcher l'Art moderne et contemporain.

Des projets, des remises de prix, de nombreuses expositions et vernissages accompagnent la manifestation du Grand Palais. C'est l'occasion ou jamais de vous préparer un parcours culturel à travers Paris.

Les grands artistes modernes et contemporains du Congo.

Théâtre d’une extraordinaire créativité artistique, le Congo est mis à l’honneur dans une grande exposition présentée à la Fondation Cartier pour l’art contemporain. Prenant pour point de départ la naissance de la peinture moderne au Congo dans les années 1920, l’exposition retrace près d’un siècle de création.

Si la peinture est au cœur du parcours de l’exposition, la sculpture, la photographie et la musique viennent également rendre compte de la richesse et du dynamisme créatifs de ce vaste pays.
S’inscrivant dans la continuité de nombreuses expositions de la Fondation Cartier liées à l’art congolais, telles que Bodys Isek Kingelez (1999), Un art populaire (2001), J’aime Chéri Samba (2004) ou encore Histoires de Voir, Show and Tell (2012), cette exposition invite le public à découvrir la grande vivacité et la diversité de la scène artistique du pays.

Le monde regarde le monde…

Photoquai, festival d'envergure internationale, a pour but de révéler au public, tant amateur, collectionneur que professionnel, les nouveaux talents d'aujourd’hui du monde entier. Festival de révélation plus que de consécration, Photoquai privilégie le contemporain, mais n'exclut pas pour autant les artistes appartenant à une histoire de l'art et de la photographie.

Avec un propos ouvert, Photoquai est une manifestation centrée sur la diversité des regards sur le monde contemporain, qui vise à s'installer dans le paysage parisien et international des grandes manifestations photographiques.

Napoléon en campagne.

Présentée en 2014 au Musée des Beaux Arts, Palais Fesch à Ajaccio puis à Portoferraio, Italie, l'exposition parisienne entend montrer, autour d'une tente impériale restaurée en 2013, l'ingéniosité d'objets prestigieux comme la somptuosité de l'artisanat de l’Empire !

Eléments de campement (utilisés pour le coucher, le repas, la toilette ou encore le travail), documents d'archives ou brevets d'inventions ou encore documents iconographiques et œuvres picturales offriront une vision la plus complète possible de la vie des bivouacs de Napoléon.

Un phénomène à Paris !

Un véritable phénomène : la comédie musicale Cats a été jouée dans environ 300 villes, traduite en 15 langues et récompensée par 7 Tony Awards et 2 Olivier Awards !
Cet immense succès s'explique tout d'abord par la combinaison des très beaux poèmes de T.S Eliot et la musique du célèbre compositeur Andrew Lloyd Webber.

Ici joué en français, ce spectacle reprend la mise en scène de la nouvelle production londonienne. Laissez-vous subjuguer par les costumes, le maquillage et les chorégraphies spectaculaires.

Une artiste pour une reine.

Élisabeth Louise Vigée Le Brun est l’une des grandes portraitistes de son temps, à l’égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze. Issue de la petite bourgeoisie, elle va trouver sa place au milieu des grands du royaume, et notamment auprès du roi et de sa famille. Elle devient ainsi le peintre officiel de la reine Marie-Antoinette.

L’exposition, qui est la première rétrospective française à lui être consacrée, présente près de 130 œuvres de l’artiste, construisant un parcours complet à travers un œuvre pictural majeur et une grande page de l’histoire de l’Europe.

Les bas fonds de la douce France.

Première grande manifestation consacrée au thème de la prostitution, cette exposition tente de retracer la façon dont les artistes français et étrangers, fascinés par les acteurs et les lieux de ce fait social, n'ont cessé de rechercher de nouveaux moyens picturaux pour en représenter réalités et fantasmes.

De L'Olympia de Manet à L'Absinthe de Degas, des incursions dans les maisons closes de Toulouse-Lautrec et Munch aux figures audacieuses de Vlaminck, Van Dongen ou Picasso, l'exposition s'attache à montrer la place centrale occupée par ce monde interlope dans le développement de la peinture moderne.
Le phénomène est également appréhendé dans ses dimensions sociales et culturelles à travers la peinture de Salon, la sculpture, les arts décoratifs et la photographie. Un riche matériau documentaire permet enfin d'évoquer le statut ambivalent des prostituées, de la splendeur des demi-mondaines à la misère des "pierreuses".

Les jeux de l'amour et de l'art.

L’inspiration amoureuse parcourt l’œuvre de Jean Honoré Fragonard (1732- 1806), souvent en écho avec les transformations et préoccupations de son époque. L’exposition explore les diverses variations autour du thème du sentiment ou de l’impulsion amoureux, inlassablement repris et enrichi dans l’œuvre de l’artiste : depuis les premières "bergeries" liées à la grande tradition de galanterie héritée du XVIIe siècle jusqu’aux allégories amoureuses néoclassiques imprégnées d’un véritable mystère sacré de la fin de sa carrière.

L'art de la guerre.

L'Hôtel national des Invalides - Musée de l'armée présente une exposition qui revient sur l'évolution de l'art de la guerre, principalement entre 1415 et 1515. Les champs de bataille de cette époque ont en effet été marqués par le développement de l'artillerie.

Entre la bataille d'Azincourt, le 25 octobre 1415, qui voit les armées du roi d'Angleterre Henri V affronter les troupes françaises et la bataille de Marignan qui a eu lieu les 13 et 14 septembre 1515 et opposa François Ier de France et ses alliés vénitiens aux mercenaires Suisses qui défendaient le duché de Milan, l'art de la guerre a considérablement changé.

Une contribution toute féminine.

S'appuyant sur des recherches nouvelles comme sur les nombreuses histoires de la photographie qui, depuis une quarantaine d'années, ont réévalué l'extraordinaire contribution des femmes au développement du medium, cette exposition et la publication qui l'accompagne sont les premières du "genre" en France.

Le phénomène est en effet appréhendé à travers ses manifestations aussi bien en Europe – essentiellement en France, Grande-Bretagne et Allemagne – qu'aux Etats-Unis, de l'invention officielle de la photographie en 1839 jusqu'en 1945.

Mise en œuvre des plus grands portraitistes florentins.

Au XVIe siècle, l’art du portrait devient de plus en plus répandu parmi les élites florentines qui trouvent là un moyen de porter les traits de leur visage et leur statut social à la postérité. Ils recourent pour cela à des figures littéraires telles que Pétrarque, à des références musicales ou à une mise en scène riche en symboles pour décrire intensément la vie du modèle, sous ses multiples facettes.

Le Musée Jacquemart-André consacre une exposition inédite aux grands portraitistes florentins du XVIe siècle autour d’une soixantaine d’œuvres. Outre la présentation des chefs-d’œuvre de Pontormo, élève d’Andrea del Sarto et maître du maniérisme, ce sera l’occasion d’apprécier les traits raffinés et gracieux, typiques des portraits de Bronzino ou ceux de Salviati témoignant d’un sens achevé de la sophistication.

Cette exposition va offrir un fascinant panorama de l’art du portrait florentin au XVIe siècle, avec ses principaux thèmes et mutations stylistiques. À travers le regard des peintres expérimentant de nouvelles manières de représenter leurs contemporains, elle permettra d’apprécier les évolutions de style du Cinquecento, un siècle particulièrement mouvementé sur les plans culturel et religieux.

Le secret des dieux.

L’Institut du monde arabe accueillera l’exposition événement de la rentrée : Osiris, mystères engloutis d’Égypte qui dévoilera 250 objets issus de 7 années de fouilles sous-marines menées par l’archéologue Franck Goddio auxquels viendront s’ajouter une quarantaine d’œuvres provenant des musées du Caire et d’Alexandrie, dont certaines sortiront d’Egypte pour la première fois.
Ces découvertes, à la signification historique hors du commun, permettront de faire revivre l’un des grands mythes fondateurs de la civilisation égyptienne : "Les Mystères d’Osiris".

Cette exposition révèlera les dernières découvertes sous-marines de Franck Goddio et de ses équipes, et notamment les vestiges de la cérémonie des Mystères d’Osiris qui étaient célébrés dans les villes de Thônis- Héracléion et Canope.
La légende d’Osiris : Osiris, fils de la Terre et du Ciel, fut tué par son frère Seth. Ce dernier démembra le corps d’Osiris en 14 morceaux avant de le jeter dans le Nil. Isis, sœur-épouse d’Osiris, grâce à ses pouvoirs divins, remembra son corps, avant de lui rendre la vie et de concevoir leurs fils : Horus. Osiris devint alors le Maître de l’Au-delà et Horus, victorieux de Seth, eût l’Égypte en héritage.

L'art se fait violence.

De la fin de l’Ancien régime aux espoirs déçus de la Révolution de 1848, les artistes traversent un siècle fait de bouleversements et de désenchantements qui les amènent à repenser, voire à redéfinir, la finalité de leur art.

Le néoclassicisme, des grands maitres tels David, Girodet ou Gérard porte une esthétique où la violence, souvent légitime, s’impose comme une caractéristique du discours artistique.

À travers une réunion d’œuvres françaises de David, Delacroix, Géricault et Ingres, souvent inédites, l’exposition montre le passage d’une violence dramatique et maîtrisée à la fin du XVIIIe siècle vers une forme française du romantisme fantastique et noir nourri tant par le traumatisme révolutionnaire que par la littérature ancienne et contemporaine.

Une collection particulière.

Musée des collectionneurs par excellence, le musée Marmottan Monet a vocation à faire découvrir des chefs-d’œuvre provenant des plus prestigieuses collections particulières. Le remarquable ensemble réuni par les époux Hedy et Arthur Hahnloser figure au premier rang de celles-ci. Installé à Winterthour en Suisse, c’est entre 1906 et 1936 que ce couple constitue une collection unique en son genre pour orner sa splendide demeure, la Villa Flora.
Le musée crée l’évènement et présente cette collection pour la première fois en France. À cette occasion, près de 80 chefs-d’œuvre par Bonnard, Cézanne, Manet, Manguin, Matisse, Marquet, Renoir ou encore Vallotton, Vuillard et Van Gogh voyageront hors de Suisse pour être présentés dans l’hôtel particulier de Paul Marmottan qui sera, le temps d’une exposition temporaire, l’écrin de l’exceptionnelle collection Hahnloser-Bühler.

Le renaissance de la peinture coréenne.

À l’occasion de l’année de la Corée en France, le musée Cernuschi consacre une exposition aux artistes coréens modernes et contemporains qui ont travaillé ou travaillent toujours en France.
Par leur travail, ils ont participé activement au renouveau de la peinture coréenne ainsi qu’à sa diffusion en Europe. Certains sont devenus partie intégrante de la scène artistique hexagonale.

Un parcours chronologique retrace l’arrivée de trois générations d’artistes, des années 1950 aux années 1980. Des sections thématiques complètent cette approche.
Cette exposition permet aussi la découverte de quelques uns des plus importants artistes coréens du XXe siècle.

L'art en atelier, au cœur de Paris.

À l’occasion du 150e anniversaire de Suzanne Valadon, le Musée de Montmartre présente une exposition phare dédiée à Suzanne Valadon (Bessines-sur-Gartempe 1865 - Paris 1938), Maurice Utrillo (Paris 1883 - Dax 1955) et André Utter (Paris 1886-1946).

Au tournant du XXe siècle, les ateliers du 12-14 rue Cortot furent d’importants lieux de création où vécurent de nombreux artistes. Après y avoir vécu jusqu’en 1905 avec son premier mari, le banquier Paul Moussis, Suzanne Valadon retourne à l’atelier de la rue Cortot en 1912 et s’y installe avec son fils Maurice Utrillo ainsi que son compagnon, André Utter. Malgré les disputes avec André Utter et les frasques de son fils alcoolique, Suzanne Valadon y passe les années les plus créatives de sa vie.

Rapidement surnommés le "trio infernal", ces trois peintres ont marqué les esprits du monde de l’art. L’exposition, à travers une sélection de près de 150 œuvres, témoignera de leur complicité créative et intime dans ces lieux.

Avec lui, ou contre lui.

L’exposition revient sur la confrontation féconde que les artistes contemporains ont menée, depuis les années 1960, avec l’œuvre de Picasso.
A la fois chronologique et thématique, le propos retrace les différents moments de la réception critique et artistique de l’œuvre de Picasso, les étapes de la formation du mythe associé à son nom.

Aux grandes phases stylistiques, à certaines œuvres emblématiques de Pablo Picasso, telles que Les Demoiselles d’Avignon et Guernica, répondent les œuvres contemporaines de Hockney, Johns, Lichtenstein, Kippenberger, Warhol, Basquiat ou encore Jeff Koons.

4 siècles de Design.

Initiée par le Musée des arts et métiers puis élaborée avec les Sismo, studio indépendant de design et d’innovation, l’exposition Invention / Design. Regards croisés explore les liens entre Design contemporain et histoire des inventions à travers une sélection de 100 objets.
De la marmite de Papin à l’autocuiseur connecté, de la simple hélice au ventilateur sans pales, des premières machines à écrire aux ordinateurs portables les plus sophistiqués… jusqu’à quatre siècles séparent ces objets. Pourtant, c’est bel et bien à partir du travail de célèbres savants, inventeurs et autres industriels, qui ont fait l’histoire des techniques, que nos créateurs du 21e siècle pensent le Design d’aujourd’hui et lui permettent d’être innovant et de s’adapter aux nouveaux usages du quotidien.
Organisée autour de 4 thématiques, l’essentiel, l’audace, le contexte et la curiosité, l’exposition démontre que le design n’est pas la mise en forme d’une esthétique mais bien celle d’une intelligence.

Nouvelle parure pour l'écrin du Lido.

Après la revue Bonheur qui s'est joué depuis l'année 2003, un vent de nouveauté souffle sur l'un des plus célèbres cabarets parisiens, situé sur l'avenue des Champs-Elysées.
Après le directeur artistique Pierre Rambert, c'est donc à Franco Dragone, à qui l'on doit les productions The House of Dancing Water à Macao et A New Day de Céline Dion à Las Vegas, de prendre sa suite pour une nouvelle ère.
Le nouveau spectacle 2015 Paris Merveilles conserve l'âme du Lido avec Bluebell Girls, scénographie, costumes, strass, plumes et paillettes, tout en lui insufflant une inspiration audacieuse.